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mercredi 22 mai 2013

Les petits lapsus du quotidien

Il nous arrive à tous d'être fatigués ou distraits, notre langue peut fourcher ou notre cerveau fonctionner plus vite que notre parole. Le résultat est parfois comique, voire irréaliste. Nous détournons le vocabulaire de son contexte d'origine et créons des néologismes.
Et que dire des absurdités de certaines expressions : mange ton assiette, bois ton verre, prend la porte... qui peuvent donner des situations cocasses quand un enfant vous prend au mot.


Voici quelques exemples de nos "écarts" de langage :

- Les courses hebdomadaires sont faites, votre coffre de voiture est rempli. Vous rentrez chez vous pour demander de l'aide aux membres de votre famille. Vous criez, sur le pas de la porte : "qui vient m'aider à télécharger les courses ?". Évidemment tout le monde vous comprend mais personne ne bouge.

- Parfois vos enfants utilisent leurs trottinettes pour aller à l'école et parfois ils y vont  à pied. Cependant votre langage ne change pas et vous continuez à dire à vos enfants "allez, roulez !" pour les faire avancer, que vous soyez alors à pied ou en voiture.

- Vous êtes dans votre cuisine et vous appelez désespérément votre ainé. Le petit dernier arrive et s'installe à côté de vous. Énervée, vous appelez de nouveau son grand frère et le plus jeune vous répond : "mais maman, je suis là". Depuis 10 minutes vous intervertissez  leurs prénoms sans vous en apercevoir. No comment !!!

- Les réveils matinales sont parfois difficiles. Vous essayez vainement de tirer votre homme en dehors du lit,  quand celui-ci vous dit, dans un demi sommeil  : "oui, oui, deux minutes, je reboot et je me lève"

lundi 13 mai 2013

Problèmes de feux

Vous êtes en voiture avec votre fils de 4 ans. Il demande désespérément  de  l'aide pour enlever sa cagoule. Vous lui expliquez qu'en conduisant, il n'est pas possible de se retourner pour aider une personne assise sur le siège arrière. Vous lui promettez, au premier feu rouge de l'aider à retirer sa cagoule. Malheureusement ce jour là, ils sont tous verts à votre passage (pour une fois que vous souhaitez vous arrêter). Au troisième feu, votre fils soupire, désespéré : "Maman le feu rouge, il est encore vert".
Votre fils enlèvera finalement sa cagoule, une fois arrivé à la maison.